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mardi, 10 juillet 2018

Chez Stéphane Mallarmé

 

 

 

 

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La maison de Stéphane Mallarmé, côté rue,
au lieu-dit Valvins, à Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne, photographie : septembre 2017.

 

 

 

 

lundi, 15 janvier 2018

La porte fermée, pour Mallarmé

 

 

 

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Louis Welden Hawkins (1849-1910), La Porte fermée (1896),
à l'exposition "Au-delà des étoiles. Le Paysage mystique de Monet à Kandinsky",
au musée d'Orsay, à Paris, photographies : mai 2017.

Cette toile appartint à Stéphane Mallarmé : ci-dessous,
le détail de la dédicace :

 

 

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 « à Stéphane Mallarmé, Gardien du mystère,
je donne cette porte fermée, en témoignage de
mon respect et de ma reconnaissance.
J. W. HAWKINS, 9 avril 1896 »

 

 

 

 

 

mercredi, 22 juin 2016

Le poète et l'oiseau noir

 

 

 

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Paul Gauguin (1848-1903), Portrait de Stéphane Mallarmé (1891), eau-forte,
Double exposition "Fantastique !", Première partie : "L'estampe visionnaire, de Goya à Redon",
au Petit Palais,
photographie : décembre 2015.

 

 

 

 

samedi, 06 juin 2015

L'édition du Faune

 

 

 

 

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Stéphane Mallarmé, L'Après-midi d'un faune, Paris : Léon Vanier, 1887,
édition illustrée d'un frontispice, de fleurons et culs-de-lampe d'Édouard Manet,
à l'exposition « Sade, marquis de l'ombre, prince des Lumières »

à l'Institut des Lettres et Manuscrits, Paris VII,
photographie : novembre 2014.

 

 

 

mardi, 21 avril 2015

Dame Méry (sans trop d'ardeur à la fois enflammant...)

 

 

 

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Édouard Manet (1832-1883), Méry Laurent au chapeau noir ou L'Automne (1881),
[Méry Laurent (1849-1900), pour qui Stéphane Mallarmé composa le poème « Dame sans trop d'ardeur... »
où le nom de Méry, dans certains manuscrits, remplace le mot de Dame],

Palais des ducs de Bourgogne, musée des ducs de Bourgogne,
photographie : octobre 2014.

 

 

Dame
            Sans trop d’ardeur à la fois enflammant
La rose qui cruelle ou déchirée, et lasse
Même du blanc habit de pourpre, le délace
Pour ouïr dans sa chair pleurer le diamant

Oui, sans ces crises de rosée et gentiment
Ni brise quoique, avec, le ciel orageux passe
Jalouse d’apporter je ne sais quel espace
Au simple jour le jour très vrai du sentiment


Ne te semble-t-il pas, disons, que chaque année
Dont sur ton front renaît la grâce spontanée
Suffise selon quelque apparence et pour moi

Comme un éventail frais dans la chambre s’étonne
À raviver du peu qu’il faut ici d’émoi
Toute notre native amitié monotone.

 

Stéphane Mallarmé, 1887-1888, poème remanié en 1896.